11 février 2020
Un article paru aujourd’hui dans L’Avenir parle de dégâts impressionnants sur la Zablière qui auraient été causés par ce déchaînement de la nature dans la nuit de dimanche à lundi, avec à l’appui, la photo d’un arbre déraciné.
La réalité est bien différente : l’arbre en question était couché au sol avant la tempête, comme d’autres arbres photographiés figurant sur le site web du journal. Et peu de leurs congénères sont tombés durant celle-ci. De plus, il n’y a pratiquement aucun dommage sur les installations. L’Avenir a-t-il cherché à vendre du papier ? Ou le journaliste méconnaissait l’état des lieux avant son reportage ?
Afin d’éviter blessures et dégâts, nous avons agi avec prévoyance et de manière autonome, sans solliciter l’aide des autorités et en mettant en œuvre des mesures de protection. La vie y a maintenant repris son cours normal.
VIVE LA ZABLIÈRE !